“Vacances en tribu : les sujets qui fâchent !”, supplément pour les parents du magazine Pomme d’Api n°654, août 2020. Illustrations : Muzo.

Vacances en tribu : les sujets qui fâchent !

Pour les vacances, tout particulièrement cette année, on a une folle envie de grands espaces. Mais aussi de se retrouver, en famille élargie ou avec nos meilleurs amis, tout en maintenant les gestes barrières, pour enfin profiter de chacun ! Petite revue de détail des sujets qui fâchent, pour réussir nos vacances à plusieurs…

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“Le grand chamboule-tout des vacances”, supplément pour les parents du magazine Pomme d'Api, août, 2017. Texte : Anne Bideault. Dossier illustré par Marie de Monti.

Vacances : halte à la routine !

En vacances, la routine quotidienne est abandonnée, les habitudes sont bousculées. À l’âge des petits lecteurs de Pomme d’Api, tout changement est une découverte : traverser une rivière à gué, pique-niquer dans un endroit insolite, se coucher tard, voir ses parents danser… Méli-mélo de témoignages d’enfants et de parents pour raconter le plaisir de tout chambouler pendant les vacances.

Chambouler… les vêtements

La réponse de Mathieu, 4 ans, fuse sans l’ombre d’une hésitation : ce qu’il aime, en été, “c’est d’être en slip toute la journée”. La chaleur et le contexte décontractent les tenues des uns et des autres. Et les enfants apprécient cette légèreté, et s’étonnent de ce que l’on se permet : “On marche pieds nus dans la rue”, “On peut être tout nus dans le jardin de Papi et Mamie”…

Merwan, 6 ans : “Un jour, il faisait super chaud et puis il s’est mis à pleuvoir super fort. Maman a dit : “ Tout le monde pieds nus, tout le monde dehors !” On a couru sous la pluie en short, sans chaussures, sans K-Way®. On était tout mouillés mais on n’avait même pas froid. J’ai adoré !”

“Le grand chamboule-tout des vacances”, supplément pour les parents du magazine Pomme d'Api, août, 2017. Texte : Anne Bideault. Dossier illustré par Marie de Monti.

Chambouler… les repas

Durant l’année scolaire, les repas sont pris à heures fixes (ou presque !) et leur préparation est minutée. Le soir, entre 18 heures et 20 h 30, c’est le rush ! En été, la pression est moins grande et les ingrédients estivaux facilitent la vie (ô melons, ô tomates, recevez ma gratitude éternelle…). Demandez à vos enfants : glaces et pique-niques, voilà pour eux les aliments de l’été ! Sans compter les extras festifs qu’on s’autorise parfois : un dîner au restau, une glace sur le front de mer, une étape sur la route des vacances… Autant d’expériences inhabituelles qui ravissent les enfants.

Antoine, papa de 3 enfants : “Nous les parents, on aime bien se retrouver entre adultes, parfois. Alors on propose aux enfants de manger seuls, super loin des parents”, c’est-à-dire à l’autre bout du jardin. Ils adorent venir remplir leurs assiettes à notre table et repartir “comme des grands”.

Nathalie, maman de 3 enfants : “Un jour, on a décrété “la grève des parents”. C’était aux enfants de préparer le repas. Ils ont pris leur mission très au sérieux. Les cousins les plus âgés ont pris la tête des opérations, et les plus jeunes faisaient le service, comme au restaurant. Apéritif, entrée, plat, dessert, on a tout eu ! Ils en parlent encore. Je crois qu’on va refaire une grève des parents ! ”

“Le grand chamboule-tout des vacances”, supplément pour les parents du magazine Pomme d'Api, août, 2017. Texte : Anne Bideault. Dossier illustré par Marie de Monti.

Chambouler… la maison

Passer une partie des vacances à la maison peut être un vrai moment de ressourcement pour la famille. À condition de ne pas s’obliger à régler tous les menus travaux en souffrance ! Cela permet de prendre du temps, ensemble, dans l’univers familier, pour redécouvrir les affaires que l’on possède, faire des choses qu’on ne fait jamais, jouer avec les jeux oubliés au fond des placards. Sur la page Facebook de Pomme d’Api, une maman témoigne : “On campe dans la salle de jeux et on mange dans le jardin. La maison étend ses limites, et chaque pièce trouve une nouvelle ‘fonction’”.

Marcel, 4 ans : “On a fait une cabane avec le tapis de pique-nique et des chaises. C’était notre maison. On a eu le droit d’y manger.”

Stéphanie, maman d’une fille : “Comme nous n’avons pas de jardin, j’installe des coussins et des tapis sur le balcon, une caisse avec des livres, un parasol, et c’est là que nous lisons des histoires et que ma fille se repose en début d’après-midi.”

“Le grand chamboule-tout des vacances”, supplément pour les parents du magazine Pomme d'Api, août, 2017. Texte : Anne Bideault. Dossier illustré par Marie de Monti.

Chambouler… l’usage de l’eau

La chaleur et l’eau… En été, même si on ne choisit pas la mer comme destination de vacances, l’eau n’est pas cantonnée à la baignoire et au bac à douche. Bien sûr, il y a l’excursion à la rivière, au lac, au parc aquatique, à la piscine municipale. Mais pas seulement : même dans des lieux sans eau, on peut se mouiller. “L’été, souligne Clara, 5 ans, on peut faire des batailles d’eau, et même si les habits sont mouillés, c’est pas grave !”

Tanguy, 5 ans : “Mamie m’a donné un pinceau et un bocal rempli d’eau. J’ai peint avec l’eau sur la terrasse : ça faisait des traces. Et ensuite, elles disparaissaient avec le soleil.”

Merlin, 5 ans : “J’aime bien, parce que chez Papi et Mamie, on se lave dans le jardin. Papi prend le jet d’eau, on se met tout nus avec les cousins, et on se lave avec du savon en forme de gros cube. Et on court partout dans l’herbe pour échapper à Papi !”

Chambouler… le couchage

Pendant les vacances, on fait étape chez des amis, on loue un appartement, on dort tous par terre sur des matelas avec les cousins-cousines, on découvre le camping, on utilise un duvet… “On a dormi sous une tente, raconte Martin, 4 ans. Maman m’a acheté un sac de couchage, c’est super.” Pour les enfants, apprivoiser un nouveau lit, une nouvelle chambre, c’est excitant et un peu effrayant. Il faut s’y faire. Il n’est pas rare que les premières nuits soient… mouvementées. Et puis les nuits douces et étoilées de l’été offrent de magnifiques occasions de découvertes.“Le grand chamboule-tout des vacances”, supplément pour les parents du magazine Pomme d'Api, août, 2017. Texte : Anne Bideault. Dossier illustré par Marie de Monti.

Ellen, 4 ans : “J’ai fait la sieste avec Papa dans un hamac.”

Adélie, 3 ans et demi : “ Avec Papa, on a dormi dehors, mais sans toit, par terre, dans nos sacs de couchage. On voyait les étoiles et la lune. J’entendais des bruits. Ça faisait un peu peur, mais c’était super.”

Chambouler… le regard des enfants sur les parents

Les vacances d’été, c’est la détente, le farniente, l’insouciance… Les parents essaient de délaisser leurs obligations habituelles, et mettent la pédale douce : “Papa et Maman arrêtent de nous dire de nous dépêcher”, note un petit lecteur. Les enfants ont parfois l’impression de découvrir leurs parents : “Chez nos amis, il y avait une table de ping-pong, se souvient Solène, 6 ans. Papa et Maman n’ont pas arrêté de faire des parties ! Je ne savais même pas qu’ils savaient jouer au ping-pong !”

Les retrouvailles familiales font aussi ressurgir des compétences oubliées : “Maman et Tatie nous ont fait un spectacle qu’elles ont inventé, raconte Clara. Y avait des marionnettes et elles étaient cachées derrière un drap. C’était super !” Autant de souvenirs et de bons moments à remporter dans les valises pour égayer la routine qui reprendra inévitablement ses droits !

Solène, 5 ans : “ Maman, une fois, elle s’est baignée dans la mer, et quand elle est sortie, elle s’était déguisée avec des algues : sur sa tête, dans son maillot… C’était dégoûtant ! On a bien rigolé, et après on a fait une bataille d’algues !”

Thibaut, 6 ans : “J’adore les vacances, parce que les parents jouent avec nous. On apporte des jeux de société. Même dans la voiture, on joue ! On fait aussi du foot ou des raquettes ensemble. Quand on est à la maison, ils n’ont jamais le temps.”

Isabelle, maman de 2 enfants : “Nous sommes allés à la fête du village où nous passions des vacances. Ma fille de 3 ans était éberluée de voir des adultes danser. Et quand son père s’y est mis, elle n’en revenait pas. Elle était surexcitée et ravie de danser dans ses bras. C’est un souvenir magnifique. On s’est dit qu’on ne dansait pas assez souvent !”

“Le grand chamboule-tout des vacances”, supplément pour les parents du magazine Pomme d’Api, août, 2017. Texte : Anne Bideault. Dossier illustré par Marie de Monti.

Pomme d'Api n° 618, août 2017

Vacances sans parents : comment préparer la séparation ? Illustration : Pierre Fouillet

Vacances sans parents : comment préparer la séparation

Le sac à dos sur les épaules, fier mais un peu inquiet, voilà votre enfant qui s’en va comme un grand chez ses grands-parents. Comment s’y préparer ensemble ? Les conseils de Pomme d’Api

Vacances sans papa maman - Comment se préparer à la séparation - Supplément pour les parents Pomme d'Api - Août 2014 - Illustrations Pierre Fouillet.En parler avec son enfant

Ça y est ! Bientôt le départ. Le plus souvent chez les grands-parents, parfois chez des cousins-cousines, une tante, une marraine, des amis proches… Un grand moment dont il est important de parler avec le petit voyageur, conseille Joël Clerget, psychanalyste.

“En insistant sur le fait qu’il va vivre quelque chose de différent : ce ne sera pas comme à la maison. Mais ne parlez pas trop tôt de ce départ, quelques “dodos” à l’avance suffisent.” Autrement, l’attente de l’échéance peut virer à l’angoisse : “C’est demain que je vais chez Papi et Mamie ?” “Non, c’est dans quinze jours !”

Faire les bagages ensemble

Vacances sans papa maman - Comment se préparer à la séparation - Supplément pour les parents Pomme d'Api - Août 2014 - Illustrations Pierre FouilletLa préparation de la valise est une bonne occasion d’anticiper ce séjour, d’en parler avec le petit vacancier, et surtout de le rendre acteur : “Va chercher 7 culottes dans ton placard et mets-les dans ton sac”, “Je mets ta brosse à dents dans cette petite poche.” Et puis on n’oublie pas le doudou, bien sûr !

Fier d’être mis à contribution, votre enfant est même attentif à quelques recommandations : “S’il y a beaucoup de soleil, tu dis à Papi de penser à ta casquette !” Une fois le sac bouclé, pris au jeu, plus d’un enfant s’amusera alors à jouer le moment du départ, en attendant le jour J : “Au revoir ! Je pars en vacances !”

Assumer sa propre appréhension

Soyons honnêtes, l’enfant est souvent bien moins inquiet que ses parents. Surtout s’il s’agit de l’aîné et de la première fois que l’on s’en sépare. “Mes (beaux-)parents sauront-ils s’en occuper ? Puis-je vraiment faire confiance à ma sœur ? On n’a pas les mêmes façons de faire ! Il va me manquer ! Je vais lui manquer !”…

Les pensées se bousculent dans la tête d’un papa et d’une maman. “Ces inquiétudes, autant ne pas les faire peser sur l’enfant, souligne Joël Clerget. C’est le problème des parents, pas le sien.” Difficile, pourtant, de les cacher. Ainsi, note Annabelle, mère de trois garçons : “Tant que j’étais stressée, ils me faisaient sentir que la séparation était longue pour eux. La fois où j’ai été ravie de me ménager du temps pour moi, en leur absence, ça s’est très bien passé.”

Comment se tranquilliser ?

En lâchant du lest sur nos principes, qui ne sont pas les mêmes que ceux des grands-parents ou des amis. Sur les rythmes du coucher par exemple, sur les habitudes des repas et de l’assiette que l’on termine ou pas… Mais ce n’est pas parce que c’est plus “strict” ou plus “libéral” chez les hôtes que cela le deviendra chez nous au retour !

Jean, par exemple, le répète souvent à ses enfants : “Chez Mamie, c’est Mamie qui commande. Mais chez moi, c’est moi !” Et puis, les “accueillants” ont généralement un gros avantage : ils se sont organisés pour être pleinement disponibles pour leurs petits invités.

Comme le résume Annabelle : “C’est sûr que chez Papi et Mamie, pour mes enfants, c’est tous les jours la fête ! Bien plus qu’à la maison où nous sommes pris par notre quotidien.” Quant aux recommandations, pas la peine de noircir des pages et des pages, hormis les nécessités médicales : “Si le terrain est trop balisé, explique Joël Clerget, c’est comme si l’enfant n’avait qu’un monde, qu’un fonctionnement. Cela empêche la découverte de l’altérité.”

Le jour J

“Quand j’étais petite, mes parents m’ont “abandonnée” sans rien me dire, à mes grands-parents. Il paraît que j’ai passé ces vacances à hurler”, raconte Anne, qui, depuis qu’elle a elle-même des enfants, s’est promis de ne jamais partir en catimini.

Oui, cela se passe bien mieux quand les choses sont annoncées clairement : “Après le goûter, je te dirai au revoir, et je partirai.” Ou “Demain matin, quand tu te réveilleras, je serai déjà parti.” Mieux vaut se confronter à la réaction de l’enfant, surtout s’il est affecté.

Mais les enfants réagissent de façons très variées : si certains manifestent leur chagrin ou leur inquiétude, d’autres décontenancent leurs parents par leur flegme : “Salut Maman !”

Vacances sans papa maman - Comment se préparer à la séparation - Supplément pour les parents Pomme d'Api - Août 2014 - Illustrations Pierre FouilletPrendre des nouvelles ?

“Ne téléphone plus le soir !” a demandé un jour une grand-mère à sa fille, car elle passait ensuite de longues minutes à consoler ses petites-filles après chaque coup de fil. Les irruptions vocales des parents dans le monde des vacances de leurs enfants peuvent les déstabiliser.

“Je prends des nouvelles auprès des adultes, a choisi Dominique. Ça évite d’interrompre un jeu ou une histoire, et j’ai le sentiment que mon fils a du mal à faire l’aller-retour entre les deux univers.” Sans compter que le téléphone est un instrument difficile à apprivoiser quand on a 4 ou 5 ans. “Prendre des nouvelles” reste une affaire d’adultes, l’enfant n’a pas besoin d’entendre la voix de ses parents tous les jours !

Les retrouvailles

Vacances sans papa maman - Comment se préparer à la séparation - Supplément pour les parents Pomme d'Api - Août 2014 - Illustrations Pierre Fouillet“Qu’est-ce qu’il a changé !” Eh oui, on ne retrouve pas son enfant exactement comme on l’a quitté. Quelle richesse ! Il a plein de choses à montrer, à raconter… Mais cela prend parfois du temps.

Au moment des retrouvailles, l’humeur de l’enfant n’est pas toujours celle que ses parents tout émus attendent. Ainsi, cette aînée qui n’a pas adressé la parole à sa mère pendant plusieurs heures, alors que la joie de sa petite sœur se traduisait par une excitation physique qui donnait le tournis… Autant que le départ, le retour est un passage délicat. Mais tous en sortent grandis !

À faire ensemble pour préparer le départ

♥ Un sac à bisous
Les amateurs de couture pourront confectionner avec leur enfant une petite pochette en tissu. Les autres feront de la récup’ ou iront fouiner au rayon “trousses de toilette”. Ce qui est important, c’est ce qu’on y glisse : un foulard imprégné du parfum de Maman ou de Papa, des photos des membres de la famille, le doudou, et surtout, des bisous (virtuels ou sous la forme de cœurs en papier, c’est comme vous voulez !). On peut en mettre tout plein, il y a toujours assez de place. Et quand on ouvre le sac, mmhh, on les sent, tous ces bisous !

♥ Un “compte-dodos”

Vacances sans papa maman - Comment se préparer à la séparation - Supplément pour les parents Pomme d'Api - Août 2014 - Illustrations Pierre FouilletRendre visible une durée pour un enfant qui ne maîtrise ni les nombres, ni le temps… Difficile ! Pomme d’Api a emprunté une idée à l’orthophoniste Bernadette Guéritte-Hess (voir Pomme d’Api Parents n° 578, avril 2014, ainsi que son ouvrage L’enfant et le temps, éditions Le Pommier).

Elle propose de réunir par une grosse pince à dessin autant de feuilles blanches que de “dodos” à passer avant de se retrouver. On peut même comptabiliser les “dodos-siestes” et les “dodos-nuits”, pour les enfants concernés. Cette liasse est fixée au-dessus du lit de l’enfant. Chaque fois qu’il se réveille, il détache une feuille, sur laquelle il pourra faire un dessin. Ces feuilles détachées sont à leur tour rassemblées par une pince à linge : ce tas grossit, pendant que l’autre diminue : on “voit” le temps s’écouler ! Bien plus concret, défini, limité et tranquillisant que “dimanche” ou “dans 5 jours”.

Vacances sans papa maman – Comment se préparer à la séparation – Supplément pour les parents Pomme d’Api – Août 2014 – Illustrations Pierre Fouillet
“Oh, les jolies assiettes ! - 4 recettes délicieuses, à picorer tout l’été”. Pomme d'Api - Conception, réalisation et photos : Hélo-Ita.

Oh, les jolies assiettes ! 4 recettes pour l’été à faire par les enfants

Les enfants seront très fiers de préparer, presque tout seuls, ces deux entrées ! Aidez-les pour couper les légumes et cuire les œufs… Et laissez-les disposer tous les ingrédients en s’inspirant des recettes du magazine Pomme d’Api. À table ! 

Deux recettes d’été à faire par les petits… avec l’aide d’un grand

Le pou-poussin à croquer

Il faut :
4 œufs durs
1 petite boîte de thon
1 carotte crue épluchée
de la mayonnaise
quelques brins de ciboulette
du poivre en grains

Réalisation de la recette :
Cuire les œufs. Couper les carottes, les brins de ciboulette, l’œuf et mélanger les différents ingrédients. Disposez dans l’assiette en suivant le modèle ci-dessous, à télécharger avec la recette de la po-pote vitaminée.

La po-pote vitaminée

Il faut :
1 concombre épluché
1 gousse d’ail écrasée
2 yaourts brassés nature
sel, poivre et cumin en poudre
1 olive noire dénoyautée
1 tomate cerise

Réalisation de la recette :
1- Couper le concombre en 2, dans le sens de la longueur, et enlever les graines à l’aide d’une cuillère.
2- Râper ou couper en tout petits morceaux.
3- Laisser égoutter dans une grande passoire pendant 10 minutes.
4- Dans un saladier, mélanger le concombre râpé essoré, les 2 yaourts et l’ail écrasé. Saler, poivrer et ajouter une pincée de cumin (selon les goûts).
5- Verser la préparation dans des petits ramequins et décorer.

Recettes de la pi-pizza et de la pu-purée de fraise, extraites du magazine Pomme d'Api de juillet 2017 - Conception, réalisation et photos : Hélo-Ita.Pour vous mettre l’eau à la bouche… un extrait des recettes de la pi-pizza et de la pu-purée de fraise, à retrouver dans le magazine Pomme d’Api de juillet 2017 – Conception, réalisation et photos : Hélo-Ita.

Couverture du magazine Pomme d'Api, spécial été, du mois de juillet 2017 - En cadeau une petite ferme pour jouer avec Petit Ours Brun

© Aki

Comme des poissons dans l’eau !

Ça y est, lʼété est là ! Parmi les plaisirs que lʼon rêve de retrouver – cette année plus que jamais après la fermeture prolongée des piscines –, il y a bien sûr la baignade. Que votre enfant soit déjà à l’aise dans l’eau ou qu‘il refuse d’y mettre les pieds, ces conseils de Pomme d’Api vous permettront d’en profiter ensemble pleinement et en toute sérénité.

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© Pascal Lemaître.

Grands-parents et petits-enfants : un lien qui fait grandir

Ces derniers mois, les inquiétudes liées à la pandémie ont parfois empêché ou espacé les contacts entre grands-parents et petits-enfants. Au grand regret des uns comme des autres. Le magazine Pomme d’Api analyse dans son supplément pour les parents cette relation particulière…

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